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Madame l’ambassadeur
(Eine Frau von Format)
de Fritz Wendhausen
avec Mady Christians, Peter C. Leska, Hans Thimig
1928 / Allemagne / 1h38 / DCP / vf
Copie : La Cinémathèque de Toulouse
Dans la petite principauté de Silestrie, la princesse est obligée de vendre l’île de Petrasia au plus offrant des pays voisins, afin de payer ses somptueuses dépenses...
Il est possible que l’opérette filmée sévisse de plus belle au cinéma depuis que l’écran parle et chante. Mais il ne faut pas croire que ce genre est né avec le film parlant. Avant qu’il existât, de nombreux films muets n’étaient pas autre chose que des opérettes. Madame l’Ambassadeur est sans doute une opérette viennoise. On retrouve, à chaque acte, le prologue, le grand air du deux, et la valse à succès. Deux concurrents sont en présence pour l’achat de l’île : le comte Geza, envoyé du roi d’Illyrie, et Mme Dschilly, envoyée du sultan de Turquisie. Et tout le film roule sur la rivalité des deux ambassadeurs. Après s’être joué les tours les plus habilement préparés, la victoire reste naturellement à la jeune fille, mais l’ambassadeur d’Illyrie gagnera tout de même quelque chose : l’amour de sa jolie rivale.
Pour vous , 1930 – n° 71, 27 mars 1930
Séance proposée dans le cadre d’un partenariat entre le Festival d’Anères et la Cinémathèque de Toulouse avec la création à Anères d’un ciné-concert qui sera repris à Toulouse dans le cadre du festival SYNCHRO 2024.
La séance sera présentée par Francesca Bozzano (La Cinémathèque de Toulouse)
Piano, objets, machines : Ginté Preisaité
Trompette, objets : Adrian Barstad Andresen
Basse électrique, machines : Antoine Ferris
Percussions, machines : Rémy Gouffault |
